God of War 2. Monumental, de bout en bout. Mis à part ce putain de passage complètement abusé avant le dernier boss qui m'a obligé à revenir en easy (pourquoi ne pas avoir le choix de revenir en normal quand on est en hard?...), ce jeu est juste dingue. Ultra efficace, des boss toutes les demi-heures plus géniaux les uns que les autres, une musique du feu de dieu, des graphismes à tomber par terre, une ambiance épique tout du long... Je pourrais continuer longtemps comme ça, mais ça ne servirait à rien. Ah si, on m'avait dit que la fin était ultra téléphonée, je ne suis pas d'accord. La fin est juste comme il faut, le cliffhanger parfait. Vivement le 3.
Si vous aimez la mythologie grecque, si vous n'êtes pas allergiques à de la violence brute qui tâche, bref si vous aimez les beat them all et les jeux vidéo en général, vous vous devez de jouer à God of War 2, tellement ce jeu est la synthèse de ce qui fait mieux dans le genre depuis l'avènement de la 3D sur consoles.
Complètement autre chose, Yakuza premier du nom. Je suis plus mitigé. Le jeu est sympa, mais il manque quelque chose pour que la sauce prenne vraiment. Mélange d'exploration dans une ville et de phases de beat them all, le jeu vaut surtout pour son scénar, classique mais efficace. C'est pas dégueu techniquement mais pas transcendant. Les caméras sont brouillones, les phases de combat parfois bancales, mais jouissives par moments. Seul truc vraiment exaspérant : malgré l'indication des objectifs dans le menu, on n'a parfois pas la moindre idée de ce qu'il faut faire, où aller... C'est très énervant et on véritablement paumé par deux fois dans le jeu.
Bref, c'est pas le jeu du siècle, mais ça reste une grosse prod SEGA. Ça se torche rapidos (une grosse douzaine d'heures, 15 grand max avec les sous-quêtes). A noter que le doublage ricain est fait par des gens connus, du style Mark Hammill, Michael Madsen, Elisa Duschku, Rachel Leigh Cook. Oui, du ricain dans l'univers des yakuza, ça fait bizarre, mais on s'y habitue.
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